La section étudiée de l’A 86 (traversée des Hauts-de-Seine) se caractérise par de fréquents raccordements sur le réseau national et départemental, le franchissement de nombreux ouvrages d’art, des sections semi-couvertes : la lisibilité de l’itinéraire est souvent confuse.
Des plantations ont été réalisées, leur évolution, croissance et gestion posent aujourd’hui des problèmes de vues, de cohérence avec les territoires traversés, et d’entretien.
Retrouver des éléments fédérateurs de l’itinéraire :
traitement végétal homogène des accotements et du TPC
retrouver de la lumière : une palette végétale qui utilise des feuillages saisonniers et des écorces avec des jeux de graphismes et de couleurs
des accessoires de plantation qui marquent et/ou préfigurent les aménagements
lorsque le végétal n’est pas possible, retrouver un même traitement minéral
supports de panneaux dans une même ligne graphique, avec les revers mis en peinture type « discrétion »
mâts d’éclairage identiques sur le linéaire, et spécifiques sur les zones d’échanges majeures (A15, A14)
Identifier les sections courantes : un vocabulaire commun
un ourlet végétal continu sur les accotements (graminées, arbustes bas, plantes tapissantes)
sur les emprises avec un faible dégagement, aménagement végétal limité à un seul élément de vocabulaire